Ça n’est pas un secret : tous les appareils et logiciels que nous utilisons sont exposés à des attaques et failles de sécurité… au quotidien ! Des failles qui peuvent être utilisées par des cybercriminels. Pour faire face à ces risques, les éditeurs et fabricants proposent régulièrement des mises à jour pour mettre leurs utilisateurs à l’abri. Une opération souvent perçue comme une contrainte, mais qui relève d’un acte essentiel pour se protéger. Bonne nouvelle : si vous êtes en cloud, ces opérations sont automatiques, indolores et sûres et faite en toute sécurité.
Aux États-Unis, c’est grâce au détournement d’un thermomètre connecté installé dans un aquarium que des cybercriminels ont réussi à s’introduire dans le système d’un casino… et pirater des données confidentielles ! Ordinateurs, standard, imagerie, système d’exploitation, objets connectés, logiciels de gestion… nous utilisons au cabinet dentaire un grand nombre d’appareils et de logiciels. Or, il suffit qu’un seul d’entre eux ne soit pas à jour pour qu’il soit exposé à une faille de sécurité et ouvre une brèche dans tout l’environnement numérique du cabinet.
Mettre à jour dès que demandé et dès que c’est possible
Pour empêcher les cybercriminels de tout poil d’utiliser ces failles de sécurité (dans leur ligne de mire : le piratage, la demande de rançon…), il est indispensable de réaliser les mises à jour des équipements… et ce dès qu’elles sont disponibles.
Il existe différentes mises à jour :
- les « importantes ou critiques » qui corrigent des failles de sécurité
- les « mises à jour de version » qui apportent de nouvelles fonctionnalités ou sont imposées par les changements de la Sécu
Des mises à jour permanentes et invisibles
Selon le fournisseur, les types de mise à jour peuvent être payantes et réserver de mauvaises surprises (de blocage du système par exemple).
Le souci qui provoque une certaine négligence (quand ce n’est pas carrément une ignorance totale de la demande par le système !) dans les mises à jour, c’est le temps d’immobilisation qu’elle exige qui peut aller de quelques secondes à plusieurs minutes ou même heures, selon les cas. On profite généralement de périodes d’inactivité pour effectuer les mises à jour (la pause méridienne ou la nuit…). Avec un logiciel cloud, les mises à jour sont permanentes et n’interrompent pas l’activité du cabinet. Un bug (ou une demande de nouvelle fonctionnalité !) signalé par un utilisateur sera corrigé… et profitera ainsi à l’ensemble de la communauté !
Attention aux tentatives de piratage en ligne
Gardez votre vigilance en naviguant sur Internet : il peut arriver que des messages qui prennent l’apparence d’alertes de mises à jour apparaissent. Ce sont en réalité de fausses publicités ou des pop-up malveillants. Une technique de pirates pour inciter le cabinet dentaire à installer une « prétendue » mise à jour qui se révèle en réalité être un virus.
Ce qu’il faut vérifier avant d’acheter
Avant l’acquisition d’un nouveau matériel ou d’un nouveau logiciel, pensez à bien vérifier la publication régulière des mises à jour de l’éditeur. Lorsqu’une solution arrive en fin de vie et que des mises à jour ne sont alors plus disponibles ni proposées, pensez à bien identifier les délais et les ressources nécessaires pour migrer vers de nouvelles solutions pour toujours rester à l’abri des attaques. Les solutions hébergées en cloud permettent de pallier ces écueils et de bénéficier de mises à jour, migrations parfaitement indolores et sans perte de temps pour le personnel du cabinet dentaire.
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